Le jardin en 2014
MARS


Création du premier massif de notre jardin sous le peuplier-tremble.
Nous dessinons tout d'abord au sol la forme du massif à l'aide de farine puis nous retournons la terre à la bêche et à la pioche.
A l'arrière-plan on distingue en pots toutes les plantes en attente de plantation.
L'hamamelis est en pleine floraison.


Ce massif que nous appelons "massif du peuplier-tremble" se prolonge jusqu'à la terrasse. Au fil du mois nous y multiplions les plantations.

L'ancienne remise en bois n'est pas du tout fonctionnelle et surtout elle est disgracieuse. Nous la démonterons dès que possible.

AVRIL

Le massif intègre la terrasse. A notre gauche fleurit un cerisier d'ornement que nous abattrons prochainement afin de créer un ensemble plus harmonieux.
Nous n'avons pas encore fait construire de garage et les voitures sont malheureusement visibles du jardin ...
Nous plantons à l'angle de la terrasse un érable du Japon (Acer palmatum 'Bloodgood'). Son feuillage pourpre est très beau. Trois pavés autobloquants évoquent l'emplacement futur de pas japonais.



En creusant dans la partie ouest du massif du peuplier-tremble nous découvrons une construction en béton assez massive. Nous ne pouvons pas l'enlever. Du coup, nous devrons adapter nos plantations en y disposant des plantes n'ayant pas trop de racines et n'ayant pas besoin de beaucoup d'eau.
Les jonquilles plantées lors de notre emménagement nous offrent leur première floraison.

JUIN

JUILLET

Le massif de la terrasse est fleuri grâce à la présence des Impatiences de Nouvelle-Guinée qui sont des annuelles.
Les pas japonais remplacent désormais les pavés autobloquants.


Pour cette première année nous avons rempli les massifs avec des plantes annuelles glanées ici et là. Les prochaines années nous planterons des vivaces à leur place afin de ne pas avoir à replanter systématiquement.
Pour agrémenter la terrasse nous installons différentes potées dont celle-ci composée de Begonia 'Dragon Wing' rouge et d'Ipomea batatas 'Marguerita'.


AOÛT


Mise en place de la "toile de fond" du futur massif des terres de bruyère.
De droite à gauche : un noisetier (Corylus avellana 'Merveille de Bollwiller'), un cotinus pourpre (Cotinus coggygria 'Royal Purple'), Chimonanthe précoce (Chimonanthus praecox), une cytise (Laburnum anagyroides que nous remplacerons ensuite par un Acer negundo 'Flamingo'), un clérodendron (Clerodendrum trichotomum), un Cotoneaster lacteus, un Weigelia 'Stelzneri', un Lagerstroemia indica 'Braise d'été', un Callicarpa bodinieri 'Profusion', un Phildelphus 'Silver Shower' et pour finir un Chionanthus virginicus qui dépérira rapidement et sera remplacé par un Garrya elliptica.






En plus de la création de nos premiers massifs, nous nous préoccupons des vis-à-vis avec le voisinage. Il faut éviter en effet que le regard soit distrait par des constructions inesthétiques.
Pour occulter une entrée de garage et un balcon nous décidons de planter trois bambous de type Phyllostachys aurea.
SEPTEMBRE

Les Impatiences de Nouvelle-Guinée sont au paroxysme de leur floraison.

NOVEMBRE
Suite à la plantation des bambous en août, nous devons placer un stop-racine. En effet, les Phyllostachys aurea sont des bambous traçants ...
il est nécessaire tout d'abord de creuser une tranchée délimitant la zone réservée aux bambous. Puis nous y installons un stop-racine de 50 cm de hauteur. Quelques centimètres dépasseront du stop-racine afin d'éviter que des turions ne passent au dessus.





Plantation d'un robinier faux acacia tortueux (Robinia pseudoacacia 'Twisty Baby').

Plantation d'un érable à peau de serpent (Acer x conspicuum 'Red flamingo'). Son tronc et ses branches possèdent une écorce décorative rappelant la peau d'un serpent. Son feuillage rose-crevette du printemps s'enflamme à l'automne.
Le chemin en pavés autobloquants deviendra un chemin de pas japonais. Nous arriverons à prendre le temps de réaliser ce projet au printemps 2020 !
Le fusain ailé compact offre un feuillage automnal du plus bel effet.


